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| Source:WPixel.fr |
« Les marques payent […] les influenceurs pour faire la promotion de leurs produits en fonction des likes que reçoivent leurs publications. »
Si l’on considère l’hyperlien comme le capital de notoriété du web, le like est certainement la contrepartie de l’objet social. Bien sûr, le nombre de followers demeure un indice fondamental de la notoriété d’un compte, par contre, le like consiste en la rétroaction immédiate du public en réponse à l’objet social.
Le like confirme en quelque sorte que l'objet a été consommé et apprécié. Et il existe une réelle économie du like comme l’explique France-Soir puisque « les marques payent […] les influenceurs pour faire la promotion de leurs produits en fonction des likes que reçoivent leurs publications. »
Le like est si puissant, que certaines études et spécialistes en psychologie le considèrent désormais responsable d'une forme d’addiction associée à la dopamine, l’hormone du plaisir.
C’est ainsi qu’Instagram fait couler beaucoup d’encre depuis 2019, suivant de multiples expérimentations pour retirer les likes de sa plateforme. Si ce dernier décrit la manœuvre comme une mesure de santé publique, pour diminuer la pression sociale et augmenter la qualité des contenus… quelques lucides en doutent!
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| Source: TourMag |
« Instagram ferait de la rétention d'information pour mieux vendre ses statistiques aux marques »
Certains y voient plutôt une manœuvre habile pour contrôler une donnée clé dans la chaîne de valeur des objets sociaux. En retirant l’information de l’espace public, sans en retirer la fonction, il devient plus facile de monnayer la donnée fortement valorisée. Selon ce billet de TourMag, « Instagram ferait de la rétention d'information pour mieux vendre ses statistiques aux marques ».
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